[AHEM]
Le truc à savoir. C'est que l'amour à trois n'est pas possible. Le truc à savoir c'est que si D. change d'avis, y'aura une nouvelle définition du mot bonheur. Et ca sera aussi un moyen de panser les putains de maux qui s'appellent tristesse et l'reste.
Le truc surtout, c'est qu'on prend peur. A cause de pas de recul, à cause des gadins qu'on se prend en pleine poire. Mais c'est pas pour autant qu'on doit se battre. Le tout c'est d'être libre, voilà le truc intéressant. La liberté d'aimer.
Quand sur un blog, t'expose ta vie, c'est que t'explose à l'intérieur de ta caboche. C'est la manière de dire "regarde ce que je n'arrive pas à te dire en face". Pour moi, c'est différent. J'ai la chance de m'être encrapulé. Vous savez, le petit microbe qui m'écrabouille dans ses bras. On peut dire que je suis celui qui est contaminé. Parfaitement, contaminé à Noémie. Le conteur anonyme et morgan, de toi et tatatain.
Ca fait chelou de venir et d'se dire que je promouvoie des choses positives depuis peu. C'est pourtant simple. Rien dans ma vie aujourd'hui ne mérite que je me plaigne et tout ça, c'est grâce à toi. Et si D. changeait d'avis ce serait la cerise qui ne fait pas déborder le vase.
Et pour le reste du monde ? L'heure est à la mode sibérienne. Ma tête se transforme en voyou communiste et la tienne en ours terroriste. Il est l'heure de poser des bombes et d'vouloir bousculer nos habitudes en s'entichant d'une putain d'gonzese, à deux.
Ce que je suis entrain de comprendre concrètement, c'est que vivre. C'est le plus beau métier du monde. Tant qu'on est placé du bon côté. Et si jamais t'as des putains d'doutes, viens prendre le gôuter avec nous. J'irai chercher des croissants et des pains au chocolat tous les dimanches matins s'il le faut. Et même que j'prendrai du Tropicana pour qu'tu nous troque un d'tes rires qui mettent cette petite patate. A l'intérieur de nos frites.
Hein ouais ?