[COUNT TO SIX AND DIE]
J'ai comme un Noir Désir. Je veux que Louise attaque, qu'elle m'emmène en Indochine, j'irai manger
des noix de Coco Rosie par le vent. Le jour de mes Saez ans, jusqu'à aujourd'hui j'ai eu beaucoup de
Muse, mais sans vouloir jouer les Garçons bouchers, je ne suis qu'un Placebo.
C'est l'heure d'une Justice. Imaginez le décor, remplis de Cowboys fringants avec pour sheriff, un certain
Billy-Ze-Kick. Alors avec la bande des Frères Misère que nous formons. Nous acclamons haut et fort que Lolita
nie en Bloc Party. Y'a vraiment pas de quoi faire une Java. Dans une Division de Joie nous montons la-haut sur la Colline
des Cyprès. Je porte des Korn. Mais tout ceci, c'est moi qui l'ai voulu. J'en ai conscience.
J'y croise des lesbiennes sous ecstasy. Elles ont l'air furieuse et lance une Massive Attack sur le reste de la foule. Des victimes incalculables.
Mais cela ne fait rien. Je vous rappelle que No one is innoncent. Lassé des noix de Coco, j'attrape un livre Dandy Warhols et y mange les Peaches qui en
sortent par magie. Les pistolets de Brixton font un petit trou qui laisse couler le rouge. Même pas mal. C'est mon côté Punk.
Je m'effondre et le Peuple de l'herbe vient me chercher. Il fallait bien que ça termine comme ça.
Jésus m'a dit un jour dans le creux de l'oreille. "Punish Yourself". Amen. Jésus parlait anglais. Sachez-le. Sur le chemin, j'attrape les soeurs ciseaux et mange le
dernier sexy sushi qu'il reste sur le sol, à coté du frigo. Les poupées de Dresden, expose mon corps dans Les Rues. Un jour on ira pu à New-York avec toi.
Mes yeux se ferment. Il n'y a pas de Cure. J'ai la tête en radio. Active.
Et un jour j'apprendrai à vivre sans Itunes.